62 - Thaïs d'Escufon

Thaïs d'Escufon est une fleur éclatante de la France éternelle qui a su rester sagement dans l'ornière vertueuse de sa noble condition.
 
Cette flamme vouée aux traditions de notre pays et à l'ordre immémorial des sexes, éclaire les égarés victimes de l'obscurantisme féministe, réveille les consciences endormies par les délires et perversités des wokistes, démystifie les temples victimaires érigés par la pensée tordue des LGBT.
 
Elle incarne les siècles de l'immuable essence conjugale.
 
Vaillante et lumineuse, elle prône non pas la sotte, vulgaire et satanique rébellion contre la force, l'autorité, la souveraineté masculines comme le font banalement et maléfiquement les bécasses dénaturées, mais au contraire la docilité, l'humilité, la modestie, la décence, qui sont des valeurs sacrées de toujours. Et non pas des idées bêtement modernes, c'est-à-dire en réalité des mensonges à la portée des faibles.
 
Son discours effraie les femmes dites "émancipées", précisément parce qu'elle a su non pas s'arracher à sa nature, mais garder précieusement ses racines féminines s'enfonçant profondément dans la terre française.
 
Afin de se nourrir d'azur, d'idéal et de vérité.
 
Elle est à elle seule un outrage aux mauvaises moeurs d'aujourd'hui, un choc social à l'encontre des vices établis.
 
Dans une société normale, saine, ordonnée selon des critères sensés, au lieu de cette folie généralisée du féminisme, elle passerait inaperçue. Fondue dans une masse heureuse.

Bref, elle est la preuve, en grâces et intelligence, que nulle blonde n'est jamais irrécupérable.